Page:Ovide - Métamorphoses, traduction Gros, 1866.djvu/341

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LIVRE VIII. 327 « Pourquoi m’arrêter aux métamorphoses d’autrui ? Moiaussi, jetunes guerriers, j’ai le pouvoir de revêtir différentes formes ; miais le nombre en est limité. Tantôt je suis tel que vous me voyez ; tantôt je prends la figure d’un serpent ; d’autres fois, armé de ; cornes menaçantes, je marche à la tête d’un troupeau. J’ai conseirvé, tant que j’ai pu, celte parure de mon front. Maintenant, voius le voyez, j’en ai perdu une partie. » Desgémissements suivemlces paroles. « Quidmororexlenns ? Eliammibisajpcnovandi Corporis, o juveues, numérofinitapotestas. 8S0 Nammodo, quoduuncsum, vidcor ; modoflectoriu anguem ; Armentimododux viresin cornuasumo ; Coruua, dumpotui ; nuncparscaretaltératelo Frontis, ut ipsevides, s Gemilussunt verbaseculi.