Page:Ovide - Métamorphoses, traduction Gros, 1866.djvu/44

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50 MÉTAMORPHOSES. carquois. Tu serviras d’ornement aux guerriers du Latium, lorscrue retentiront les cris joyeux de la victoire et que le Capitule verra se déployer ses pompes triomphales. Gardienne fidèle du palais des Césars, tu en ombrageras les portes ; lu protégeras la couronne de chêne suspendue près de loi ; el, comme ma chevelure brille d’une éternelle jeunesse, ton feuillage conservera toujours sa fraîcheur. i> Dès qu’Apollon eut cessé de parler, le nouveau laurier s’inclina, et paru ! agiter sa tèle en signe d’approbation. MÉTAMORPHOSE Il’lO ENGÉNISSE ET DESÏBINXENP.OSEAU. — KORT D’ARGUS. — NAISSANCE D’ÉPAPIJUS. IX. Il est dans l’Hémonieune vallée qu’une abrupte forêt enclôt de toutes parts : on l’appelle Tempe. C’est à travers celle vallée que, sorti des flancs du Pinde, le Pénée roulé ses ondes écumeuses. Sa bruyante cascade soulève un brouillard qui se dissipe en vapeurs légères, et retombe en pluie sur la cime des arbres. Le bruit faliganl de ses eaux retentit au loin. C’est le séjour, la retraite sacrée du fleuve puissant ; c’est là qu’assis au fond d’un Tu ducibuslatiisoderis, quumloefa, Iriumphum 560 Vo.xcanet, el longasvisentCapiloliapompas. Poslibusaugustiseademfidissimacustos Anteforesstabis, mediamquetueberequercum. •Utquemeumintonsiscaputesljuvénilecapillis. Tu quoqueperpetuossempergèrefrondishonores.* 565 FinieratPaian.Factismodolaurearamis Annuit, utquecaput, visaest agitassecaeumen.

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INVACCAM, SYMNX INARUXDINEM.ARGUS NECATUn. NASCITUIt KPAPROS. IX. EstncmusHaimonife, prairuplaquodundiqueclaudit Silva.VocantTempe, per quaiPcneus, ab imo F.fùisusP"indo, spumosisvolvilurundis, 5~0 Dejectuquegravitenuesagifantiafnmos Nubilaconducil, summasqueasperginesilvas Jmplnit, cl sonituplusquamvicinal’atigat. Haiediiinus, baîcscilr-s, hcccsunt penelraliamagni -’ » ~5 AmnisIn hoc, residensfactode cautihnsantro,