Page:Ovide - Métamorphoses, traduction Gros, 1866.djvu/542

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LIVRE QUATORZIÈME SCYLLA CIIAXGEE EKROCHER TAUCIRCE. I. L’habitant des flots orageux d’Eubée, Glaucus, avait enfin quitté l’Etna qui pèse sur le corps des géants, les champs des Cyclopes, toujours respectés de la herse el de la charrue, el dont les irésors ne durent jamais rien au travail des bœufs. Il avait également franchi Zancle, Rbégium, située sur l’autre bord, el ce détroit fameux en naufrages, resserré entre les confins de i’Ausonie el ceux de la Sicile. De sa main puissante fendant la mer de Tyrrhène, il louche aux fertiles coteaux où réside Circé, fille du Soleil, dans un palais peuplé de bêtes féroces. Dès qu’il l’aperçoit, après des saluts mutuels, il lui dit : « Déesse, prends pitié d’un dieu qui l’implore. Seule tu peux, si je t’en parais LIBER QUARTUS DËG1MUS t SCÏ1LAIXRUl’KM A CIRCEYERTITUK. 1. Jamquegiganteisinjeclaznfaucibus.ïlueu, ArvaqucCyclopum, quidrastra, quidususaratri Kcëcia, necquïdquanijunclisdebentiabubus, LiquerateuboicusLumidarum culloraquarum ; Liqueratet Zanclen, adversaquemoeniaRhegi, 5 Kavifragumque fretum, géminoquodlitlorepressum Ausoniaj, siculccqueteaetconfinialeri’oe. Inde, mauumagnaIhyrrcnaper a^quoralapsus, Hcrbiferosadiilcolles, alqucatria Glaucus Solesala ; Cirées, variarumplcnaferamm. 10 Quamsimulaspexit, dictaacceptaquesalule : Diva, deimiserere, precor ; namsolalevare Tu potesLuuc dixit, videarmododignus, amorem.