Page:Ozanam - Œuvres complètes, 3e éd, tome 10.djvu/40

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Agréez, monsieur, les assurances de ma plus haute considération.

LAMARTINE.
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A la fin de l’année de 1831,Ozanam partit pour Paris, afin de commencer son droit. A cette époque l’étudiant catholique ne trouvait, en arrivant dans cette grande ville, aucun point de ralliement. Pas de cercle, d’hôtels, de conférences de toutes sortes, comme on les a fondés et tant multipliés de nos jours avec une si sage prévoyance. Les parents d’Ozanam cependant étaient trop vigilants pour ne pas s’inquiéter du séjour de leur fils à Paris; ils avaient chargé un vieil ami de lui choisir une pension où il ne courût aucun danger. Le choix du vieil ami ne fut pas heureux et le jeune étudiant ne pouvait pas plus mal tomber, ainsi qu’on le peut voir dans la lettre suivante. Mais la Providence veillait sur lui et ne devait pas l’y laisser longtemps.

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