Mon cher ami, Lorsque je reçus, il y a deux mois, votre bonne lettre, je me réjouis de sentir se renouer des relations qui me sont si chères. Je ne répondis pourtant pas aussitôt cependant plus que jamais j’aurais eu besoin d’être soutenu par le souvenir et par les prières de mes amis. Souvent en priant Dieu, en lui exposant mes besoins, je songeais aux vôtres et j’espérais que vous faisiez de même il y a un rendez-vous où les âmes chrétiennes sont sûres de se retrouver et de s’entendre. J’ai pourtant saisi un moment de loisir bien court, et j’accompagne de quelques lignes l’envoi du Bulletin du Cercle catholique, où vous trouverez un discours de vôtre ami sur les devoirs’ littéraires des chrétiens[1] et l’allocution par
- ↑ Œuvres complètes d'Ozanam, t. VII, p. 129.