Page:Paris - Légendes du Moyen-Âge.djvu/287

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deux rimes ; elle est surprenante au premier abord, mais elle n’est pas sans analogues [1]. En général, la langue de notre lai est très correcte, et par là même donne lieu à peu d’observations ; elle ne présente pas non plus à la lecture de difficultés sérieuses.

  1. Il est vrai qu’en général l’addition après l'n d’un t non étymologique a une raison qui n’existe pas ici ; elle est d’ailleurs surtout habituelle en provençal (voy. Romania, t. VII, p. 105 ; t. VIII, p. 110) ; mais il y en a en français des exemples incontestables.