de Schiller, et comme Jean Sbogar. L’auteur ne prétend pas que nous devions nous faire brigands, mais il compare perpétuellement la vie des bois à celle des cours, certains brigands à certains autres : voilà tout. C’est un texte à la satire, non pas une déclamation anti-sociale : enfin, pour me servir d’une expression de frère Jean des Entommeures, type de frère Tuck, ce n’est pas matière de bréviaire.
Nous avons cru devoir au public ce petit avertissement, parce qu’il est certains principes qu’à notre avis il ne faut jamais attaquer, même dans les romans ; car si les grands littérateurs peuvent se contenter d’une conscience littéraire, ce n’est pas la peine, pour un traducteur, d’échanger sa réputation de probité contre celle de médiocre écrivain.