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PENSÉES DE MARC-AURÈLE.

rien[1], ni dans un cas, ni dans l’autre. Pars donc, le cœur serein ; car Celui qui te délivre est plein d’une bienveillante sérénité[2]. »

    Dieu.

  1. Tu n’es pour rien. C’est le principe de la résignation absolue à la volonté de Dieu, en même temps que de la confiance en sa bonté.
  2. Serein… sérénité. La répétition est dans le texte.

    Cette dernière pensée termine noblement un bien noble ouvrage.


FIN