Page:Pensées de Marc-Aurèle, trad. Couat.djvu/274

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pour trouver... »— La leçon des manuscrits, nâ0o; xoù evvoia paOutépav, n'a pas de sens: Morus a fort ingénieusement corrigé m«Oo; en piOo;, et rejeté les trois mots suivants comme une glose. Un peu plus loin, aux deux tiers de la pensée III, 4, la même confusion de niOo; et de pâ6o; reparait dans les manuscrits A et D : pàOo; 'éysn est une expression classique, qu'on trouve dans le Théétète (page i83, E), au sens même que je lui donne ici. — J'emprunte ces arguments à un article de M. H. Polak (In M. Anlonini commentarios, Hermès XXI, p. 34(3). On pourrait observer, en outre, que les Stoïciens donnaient de Nïoo; (cf. infra III, 16, 3' note) une définition très précise, à laquelle Marc-Aurèle a toujours rigoureusement conformé l'usage du mot dans ses Pensées. Pourrait-on admettre qu'il n'en fût pas de même ici?)

///, 3, 2° note — page 32, note 2. Lire à l'avant-dernière ligne de la note: sont matière, — matière active, sans doute, et non inerte, plus subtile et plus pure que la terre...

///, ff, dernier alinéa de la 2' note — page Ul, 7' ligne des notes,< lire: celui que lui donnent les lexiques et qu'a pu lui attribuer MarcAurèle.

Ligne suivante, au lieu de: XII, i, lire: XI, 2.

IV, 3 — page 48, ligne f6. Lire: propre indépendances')'», et ajouter à sa place, sous ce numéro 3 bis, la note suivante:

3 bis. [Je ne doute pas qu'il ne faille entendre ici par è$ouai'av le «pouvoir» de se retirer en soi-même dont il était question au début de la pensée, et que Marc-Aurèle y a exprimé par le mot tyy. Sur la valeur du mot è^oixiia, cf. V, io, note finale rectifiée aux Addenda, et XI, 20, note finale.]

IV, U, note finale = page 5f, 3' ligne des notes. Lire: et plus pur que le feu lui-même, — si subtil et si pur que notre auteur (voir la note à la pensée VI, 17, rectifiée aux Addenda) hésite à lui donner le nom d'élément.

Ligne suivante, au lieu de: note finale, lire : note 3.

Même page, f7° ligne des noies, au lieu de: XI, 20; i4, etc., lire: XI, 20; XII, i4, etc.

IV, fU, 2' note = page 56, après le second alinéa des notes, lire: On me pardonnera ce développement accessoire, que j'aurai d'ailleurs à reprendre plus bas (IX, 25, et IX, 3i)...

IV, f6, f" note = page 57, note 2. Ajouter un dernier paragraphe ainsi conçu: M. Rendall (Journal of Philology, XXUI, p. 132) propose ingénieusement d'insérer le mot Osoî; entre Osô; et a-jToî; (la faute s'expliquerait d'elle-même). La pensée se traduirait dès lors ainsi: « Veux-tu qu'en dix jours les dieux eux-mêmes te traitent, etc.. » Je demanderai seulement : pourquoi en dix jours;1] V, 2I, note finale = page 62, note 3. Lire, à la f0e ligne de la note : VIII, 27, au lieu de: VIII, 3; puis, après le mot ni'