moment de l’arrivée de la famille et pour me retenir un logement. François est à tes pieds, son attachement pour toi va à l’adoration : il me prie tous les jours de te présenter l’hommage de son respect et de ses sentiments.
» Adieu, chère Hélène, je t’embrasse mille fois et mon cœur, contre lequel je te presse, n’est pas encore content ».
Hélène fut ravie de ces bonnes nouvelles et répond à son mari :
« Je te prie de dire à M. François que je suis bien flattée et bien touchée de son souvenir, que l’amitié que je lui ai vouée dès longtemps est tendre, sincère et indépendante de tous les événements. »
Puis elle ajoute :
« Je viens de recevoir une nouvelle lettre de Sidonie pleine de sensibilité et de naturel. Je crois qu’elle m’aime déjà beaucoup. Elle se fait une fête de me voir à Tœplitz. »
Voici la lettre de Sidonie :