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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/442

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Toulouse, 152. Va reconnoître l’état du siége de Montauban, entrepris par le seigneur de Terride, 153. Revient à Agen, 155. Est appelé à Toulouse, où il est nommé chef de l’armée de l’association formée entre les catholiques nobles, ecclésiastiques et bourgeois, 156. Est appelé aussitôt à Bordeaux pour y rétablir l’ordre, 160. Il y reçoit du Roi la charge de lieutenant pour la moitié du gouvernement de Guyenne, 161. Pacifie la ville de Bordeaux par ses seules remontrances, 162. Comment il entretient le calme pendant cinq ans dans son gouvernement, 166. Se rend à Toulouse pour faire sa cour au Roi ; son entretien avec la Reine mère, 172. Il refuse d’entrer dans une ligue secrète, et en découvre le projet à la Reine mère, 173. Sur son avis, la Reine engage le Roi à déclarer une confédération générale dont il devoit être le chef, 174. Ce projet est discuté dans le conseil, où Montluc est appelé et entendu, 175. Le projet est adopté et proclamé, 177. Montluc accompagne le Roi jusqu’à Bayonne, et revient dans son gouvernement, 178. Avertit le Roi, et à plusieurs reprises la Reine mère, des manœuvres des protestans ; visite le Rouergue, le Quercy et les frontières du Périgord, 179. Comment il est averti des projets des protestans ; avis réitérés qu’il en donne à la Reine mère, qui ne veut rien croire ni rien entendre, 182. Il se rend aux bains de Barbotan, 184. Songe extraordinaire, 185. Sur divers avis qu’il reçoit des mouvemens des protestans, il fait des dispositions pour les prévenir, et marche au secours de Lectoure, 190. S’assure du château de cette ville, 192. Son entretien avec le sénéchal de Fonterailles, 194. Il refuse de le faire prisonnier, 198. Complot contre Lectoure, découvert et instruit par le parlement de Toulouse, 199. Quel en étoit le but, 201. Dépêches de Montluc à tous les seigneurs et gentilshommes du pays pour les informer de ce qui se passe et les mettre sur pied, 203. Sur des lettres qu’il reçoit de la part du Roi et de la Reine, il écrit à tous les nobles de Toulouse et de Bordeaux de marcher en diligence au secours du Roi, assiégé dans Paris, 205. Se rend à Limoges ; son discours aux seigneurs et capitaines réunis auprès de lui, 206. Est remplacé dans son commandement par le comte de Candale ; exemples de mauvais services rendus contre lui à la cour, 210. Autres exemples envers d’autres, 212. Autres exemples tirés de l’histoire romaine, 222. Montluc se retire chez lui ; peu après est envoyé par le Roi pour assiéger La Rochelle, 228. Ses dispositions à cet effet, 229. Se rend maître des îles d’Oleron, d’Avert et de Ré, 233. Est chargé de faire publier la paix à Bordeaux ; réflexions sur cette paix, 236. Donne avis au Roi de se défier de des Rois, capitaine de Blaye, 239. Envoie à la cour son neveu Leberon faire part des moyens qu’on doit prendre pour se rendre maître des ports du côté de La Rochelle, 244. Tombe malade à Agen, 246. Ses soupçons sur la conduite de la reine de Navarre, 247. Précautions qu’il prend contre elle, 249. Retombe malade ; fait des levées de troupes, 250. Se rend près de Cahors avec plusieurs capitaines, 251. Va à Souillac, 253. Tient plusieurs conseils sur ce qu’il doit faire contre l’armée conduite par le baron d’Acier, 254. Se décide à ne point combattre, et retourne à Castelnau, où il est attaqué de la dysenterie, 267. Est appelé à Bordeaux, où il rétablit la paix et la confiance, 269. S’arrête autour de Sainte-Foy pour épier les mouvemens des ennemis, 275. Se rend ensuite dans le Rouergue, 276. L’édit du Roi qui ordonne de ne point inquiéter les protestans qui ne porteroient point les armes et resteroient dans leurs maisons est la cause, selon Montluc, que la nouvelle religion n’a pu être détruite, 278. Pourquoi Montluc ne put arriver à temps pour défaire tout un corps de protestans com-