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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/444

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cours aux gentilshommes qui l’accompagnent, 457. Il marche lui-même à l’assaut, 458. Est blessé au visage et forcé de se retirer, encourageant encore les siens au combat, 459. Apprend la prise du château, et le massacre de toute la garnison, 462. Reçoit la visite de M. de Grammond, protestant, qui lui offre sa maison, 463. Discours qu’il tient à ses capitaines ; il leur donne pour chef, à sa place, le capitaine Gondrin, 464. Détails des dons qu’il a faits aux gentilshommes de sa suite, 466. Il est transféré à Marsiac, 468. Il envoie supplier le Roi de pourvoir à son gouvernement, 469. Sa lettre au Roi, 471. Il est transporté à Cassaigne, 486. Fait licencier les gens de pied et de cheval, 487. Paix publiée ; conseils au Roi, 489. Conseils au duc d’Alençon, 513. Montluc reconnoît qu’il doit beaucoup à ses maîtres, 526. Sa conduite dans la guerre, 537. Lettre du roi de Navarre à son sujet, 541. Son opinion sur l’amiral Coligny, 543. Il va au siége de La Rochelle, 546. Sa douleur de la perte de son fils Fabien, 547. Il se rend à Paris auprès de la Reine mère ; est fait maréchal de France, 550. Va assiéger Gensac, qui capitule, 552. Son discours à la noblesse qui l’accompagne, par lequel il se justifie des calomnies répandues contre lui, 553. Il prend congé de ses capitaines, et veut se retirer à Sarracoli, 555. (Comm. de Montluc.) — Comment il fait entrer des troupes dans S.-Damian et éventer les mines des ennemis, XXIX, 236. Sa diligence et sa valeur sauvent cette ville, 241. (Du Villars.)

Montluc (Jean), évêque de Valence, partisan secret de la réforme, appuie, à l’assemblée des notables tenue à Fontainebleau, les vues de tolérance de l’amiral de Coligny, XX, 92. Est envoyé en Pologne pour travailler à faire élire roi de ce pays le duc d’Anjou ; obstacles qu’il y rencontre, 165. Son adresse et son habileté dans sa négociation ; il parvient à faire élire ce prince, 166. (Introd.) — Est envoyé à Venise par François I pour excuser l’alliance faite avec les Turcs ; harangue qu’il prononce à cette occasion, 417. (Comm. de Montluc.) — Conseille au prince de Condé, comme un moyen de rétablir la paix en France, d’offrir à Cather. de Médicis de sortir lui-même du royaume, XXXIV, 139. (Mém. de La Noue.) — Son caractère ; il prend très-jeune l’habit de dominicain ; est remarqué par Marguer. de Navarre, sœur de François I ; ses succès dans diverses négociations ; son talent pour la chaire, XXXVIII, 5. S’attache secrètement au parti protestant ; vit avec une belle personne, dont il a un fils nommé Balagny ; est dénoncé au pape Pie II par le doyen de Valence, 6. Prononce à l’assemblée de Fontainebleau un discours fort remarquable ; devient le principal agent de Catherine de Médicis auprès du prince de Condé, 7. Est envoyé en Pologne ; court de grands dangers en sortant de France, 8. Peines et soins qu’il prend pour faire élire le duc d’Anjou, 9. Son discours prononcé à la diète est imprimé d’avance, et distribué ensuite à la noblesse polonaise, 11. Analyse de ce discours, 12. Revenu en France, il se retire en Languedoc ; meurt dans la religion catholique, 15. (Notice.)

Il propose à Cather. de Médicis deux moyens de faire tomber la couronne de Pologne sur la tête du duc d’Anjou, 21. Accepte, après beaucoup de résistance, l’ambassade de Pologne, 41. Se met en route ; tombe malade, 42. Court le danger d’être tué, 43. Il est conduit et gardé à Verdun, 47, et relâché par ordre du Roi, qui lui écrit, ainsi que la Reine mère et le duc d’Anjou, 48. Se rend à Strasbourg ; emmène avec lui Jean Bazin ; difficultés qu’il éprouve de la part des colonels des reîtres, 51. Comment elles sont levées par sentence du sénat de la ville, 53. Il se rend à Leipsick avec beaucoup de peine, 55. Traverse le duché de Saxe, 57. Pourquoi il ne