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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/446

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ville de Plosko, et les autres ambassadeurs en d’autres lieux, 149. Le second discours qu’il tient lui gagne un grand nombre d’électeurs, 150. Il obéit à l’ordre du sénat, 151. Envoie en France le sieur Choisnin assurer Leurs Majestés qu’il l’emporteroit dans l’élection, 152. Détails sur l’élection du duc d’Anjou pour roi de Pologne, 153. L’évêque envoie le sieur Bazin aux palatins de Podolie et de Cracovie, pour les inviter à consentir à l’élection et prévenir une guerre civile, 156. Comment il obtient que la proclamation de l’élection soit faite suivant la manière accoutumée, 157. Fait lever les difficultés concernant les pouvoirs des ambassadeurs Laussac et Delisle, et les articles faits entre les députés des sénateurs avant l’élection, 160. Les ambassadeurs de France prêtent serment au nom du roi élu entre les mains de l’archevêque de Gnesne ; détails sur la cérémonie de la proclamation, 162. L’évêque signe avec beaucoup de peine les articles accordés avant la proclamation, à cause des changemens qu’on y a faits, 163. Comment il détermine le palatin de Cracovie à signer le décret d’élection, 164. Empêche qu’un chiaoux envoyé par le Grand-Seigneur soit admis à l’audience du sénat avant la signature du décret d’élection, 165. Quelle est la mission de ce chiaoux ; son entretien avec l’évêque, 166. Réfutation de faux bruits relatifs à l’influence du Grand-Seigneur sur l’élection d’un roi de Pologne, 167. Comment cette élection s’est faite par 30,000 gentilshommes polonais qui ont entraîné les palatins ; preuves que l’évêque n’a influé ni par don, ni par argent, ni par promesses, 171. Ses lettres au Roi, 174, à la Reine, 175, au duc d’Anjou, sur cette élection, 176. Difficultés pour son retour en France, 180. Il passe par la grande Pologne, 181. Embarras où il se trouve à l’occasion des députés polonais qui se rendent en France, 182. Il les détermine à traverser la Saxe et l’aller attendre à Leipsick, 183, où ils sont arrêtés, 185. D’après son conseil, ils poursuivent leur route, et lui-même les précède et se rend auprès du landgrave de Hesse, qui l’accueille fort civilement, 187. Son entretien avec ce prince sur l’élection du roi de Pologne, 188. Il lui promet, avant de le quitter, de lui adresser une lettre sur ce qui s’est passé dans cette élection, 189. Texte latin de cette lettre, 190. Traduction française, 195. Il termine heureusement son voyage, 201. Fait à Leurs Majestés un rapport de sa négociation ; loue la Pologne sur son étendue, sur sa fertilité, 202 ; sur sa noblesse, dont il décrit les mœurs et vante la valeur, 203, l’union et l’intelligence, 204, la fidélité et l’obéissance à ses rois, 205. Quel est le revenu des rois de Pologne, 206. (Mém. de Choisnin.)

Montluc (Ch.), capit., fils de Bl. de Montluc, met en fuite à Miremont les protestans commandés par le seign. de Pilles, XXII, 287.

Montluc (Fabian), fils de Bl. de Montluc, est blessé au siége du château de Rabasteins, XXII, 453. Il meurt d’une blessure reçue au siége de Nogarol, 547.

Montluc (Pierre-Bertrand de), second fils du maréchal de ce nom ; comment il fut tué à Madère, XXI, 128. Est blessé au combat de Targon, et a deux chevaux tués sous lui, XXII, 84. Défait une troupe de protestans près de Caussade, 104. Est envoyé devant Lectoure, 114. Envoie un courrier à son père pour l’engager à venir prendre cette place, 115. S’empare de Terraube par composition, 116. Après la pacification forme une entreprise en Afrique ; est tué à Madère, 168. Son éloge, 169.

Montluc (Marc-Ant. de), fils de Bl. de Montluc, est blessé à mort devant le fort d’Ostie, XXI, 367. Son éloge, 368.

Montmartin (Louis de) est fait prisonnier près de Château-Chinon, XIV, 6.