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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/448

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les Normands et les Picards, 216. Marche au secours de Térouane avec le Dauphin, 246. Va reconnoître le pas de Suse, 276. Entreprend de le forcer, 277. Exécute cette entreprise avec le Dauphin, 278. Prend de force le château de Villane, 280. Attaque l’ennemi en plaine, 282. Passe la rivière à Carignan, 284. Arrête avec le marquis Duguast la forme dans laquelle la trève générale sera observée au-delà des monts, 287. Est envoyé à Leucate pour traiter de la paix générale, 289. Est fait connétable de France, 290. (Mém. de Du Bellay.)

Il exerce avec François de Guise de cruelles rigueurs contre les rebelles de Guyenne, XX, 45. Opine, dans le conseil du Roi tenu pour délibérer sur les propositions des princes d’Allemagne, pour qu’on temporise, 49. Tombe dangereusement malade pendant qu’il fait la guerre en Picardie ; conseille au Roi de mettre le duc de Brissac à sa place ; se rétablit tout-à-coup comme par miracle, 58. S’empare de Mariembourg, 60. Motifs qui le portent à aplanir les difficultés qui s’élèvent dans les négociations de paix entre Henri II et Philippe II, 68. Marche au secours de S.-Quentin ; présente la bataille au prince de Savoie ; est fait prisonnier, 71. Se retire mécontent à Chantilly, 86. Se sépare du prince de Condé et de Coligny ; se lie avec le duc de Guise et le maréchal de S.-André ; leur association prend le nom de triumvirat, 97. Le connétable fait partir la cour pour Melun, 103. L’amène ensuite à Paris, où le Roi est reçu avec des transports d’alégresse, 104. Envoie demander à la Reine s’il faut livrer bataille, 109. Est fait prisonnier à la bataille de Dreux, 110. Dirige le siége du Havre avec le maréchal de Brissac, 114. Arrête le Roi, qui veut imprudemment s’élancer contre les troupes du prince de Condé, 126. Attaque ce prince dans la plaine de S.-Denis ; est blessé, et meurt le lendemain, 127. (Introd.) — Prend Mariembourg et Dinant, qui capitule, XXIV, 123. Sa conduite avant et pendant la bataille de S.-Quentin, 201. Est pris et blessé, 202. Négocie la paix entre le roi de France et le roi d’Espagne tout à l’avantage de ce dernier, 236. À l’avénement de François II, se retire de la cour, 257. Y revient après la mort de François II, 314. Veut s’en aller, et est retenu par un ordre exprès du Roi, 316. Ruine les temples des huguenots à Paris, 327. Est fait prisonnier à la bataille de Dreux, 378. Force les Anglais à rendre le Havre, 396. Se décide à livrer la bataille de S.-Denis, où il est tué, XXV, 12. (Mém. de Tavannes.) — Comment il acquiert la terre de Châteaubriant, XXVI, 92 et suiv., et d’autres terres, 98. Son crédit à la cour de Henri II, 165. Il donne au Roi sa démission de maréchal de France, dont il conserve la pension, 183. Est envoyé dans la Guyenne pour punir les révoltés de ce pays, 262. Terribles supplices exercés sur les séditieux, 264. Avis du connétable dans le conseil du Roi sur les propositions faites par les ambassadeurs des princes d’Allemagne, 373. Il s’empare de la ville de Metz, 402. Conseille au Roi d’entrer dans Strasbourg avec le petit nombre que le magistrat de cette ville a limité, 418. Menace la ville d’Haguenau de son artillerie si elle ne reçoit le Roi, 423. Conseille au Roi d’aller attaquer l’armée conduite par la reine de Hongrie, 449. Fait raser le château de Trelon, 470. Est fait prisonnier à la bataille de Dreux, XXVIII, 63. Persuade à son neveu Dandelot de faire la paix ; en présente lui-même les articles au Roi, 132. Par ses menées secrètes fait suspendre l’expédition du Havre, 136. Est chargé par le Roi de commander le siége de cette ville, avec plein pouvoir de traiter, 146. Fait sommer les Anglais de rendre la place, 148. Envoie au comte de Warwick les articles de la capitulation à signer ; dans son rapport au Roi, garde le silence sur les servi-