n’hésite pas à partager ses périls, 306.
Delphes. Construction miraculeuse du temple de Delphes, 250.
Œuvres d’art que renferme ce temple, 250.
Demetrius, philosophe cynique, se range parmi les disciples d’Apollonius, 163.
Il vient à Rome, et en est chassé pour ses propos hardis contre Néron, 181.
Il s’établit à Athènes, où Apollonius le retrouve toujours ferme, 201.
Apollonius le donne à Titus comme compagnon et conseiller, 276.
Sous Domitien, Démétrius s’établit à Dicéarchie, où Apollonius le trouve quand il vient en Italie se justifier, 294.
Il le détourne de son projet, 295 et suiv.
Il le reçoit à Dicéarchie après le jugement, 376.
Démons. V. Merveilleux (êtres).
Dieu. Ce nom donné aux hommes vertueux, selon Iarchas, 110, et selon Apollonius, 340, 355, 357.
— Empédocle dit que d’homme il deviendra dieu, 354.
— Lycurgue appelé dieu par l’oracle de Delphes, 356.
— Les hommes, après leur mort, deviennent dieux, non par un changement de nature, mais par un changement d’état. Lettres, 417.
— Apollonius blâme les figures que les Égyptiens ont données des dieux (sous la forme d’animaux). Thespésion leGymnosophiste défend ces représentations symboliques, 261.
— Apollonius est-il un dieu pour Philostrate ? 478.
Dion (Chrysostome), philosophe, ami d’Apollonius, 210.
— Apollonius le présente, avec Euphrate, à Vespasien, 213.
— Dion et Euphrate engagent Vespasien à rétablir la république, 216.
— Vespasien apprécie son caractère et son talent, 224.
— Désintéressement de Dion, 224.
— Critique de Dion comme rhéteur, 225.
— Lettre à Dion, 398.
Divination. Connaissance de l’avenir, fruit de la vie pythagoricienne, 246, 341, 353, 361, 364.
Divination. Éloge de la divination, ce qu’il y a de plus divin chez les hommes, 88, 130, 132.
— Apollonius nie être un de% in, 183. — Pourquoi ? Il dit tenir des dieux ce qu’il prédit, 192. Sur ces questions, V. l’Éclaircissement, 439.
— Divination par les songes, 88 ; par le feu, 207 ; parles entrailles, réprouvée par Apollonius, 361, 364, 369.
— Exemples de divination. V. Merveilleux (faits).
— Devins et oracles célèbres : Amphiaraüs, 89 ; la tête d’Orphée à Lesbos, 150 ; le fleuve Sperchius, 153 ; les sources du Nil, 269 ; oracles de la Grèce, 161 ; Iamides, Telliades, Ciytiades, Mélampodides, 207 ; Mégistias d’Acarnanie, 161, 369 ; Aristandrc de Lycie, Silanus d’Ambracie, 369.
— Divination chez les Arabes, 24 ; chez les Indiens, 102.
Empédocle (d’Agrigente), était pythagoricien ; parle de son existence antérieure, 2.
Empuses. V. Merveilleux (êtres).
Domitien, fils deVespasien, combat Vitellius pour soutenir les prétentions de son père, 212.
— Met en accusation Apollonius, 293.
— Se dit fils de Minerve, 316.
— Il interroge Apollonius, 340.
— Il est tout troublé de la disparition subite d’Apollonius, qu’il a renvoyé absous, 374.
— Sa mort, 388.
Érythrée (mer). Cette mer, malgré son nom, qui semble indiquer une mer rouge, a des flots bleus ; ce nom vient de l’ancien roi Érythras ? 136.
Eschyle. Détails sur les perfectionnements qu’il apporta à l’art de la tragédie, 247.
Esculape. C’est un des Dieux les plus honorés par Apollonius de Tyane.
— Le temple d’Esculape à Égées, les malades qui y viennent en suppliants, cures qui s’y font, 9 et suiv.
— Séjour d’Apollonius au temple d’Esculape, 8 et suiv.
— Esculape et les enfants d’Esculape.
— L’art de guérir se perpétue dans la famille du Dieu, 132.
