Page:Philostrate - Apollonius de Tyane, sa vie, ses voyages, ses prodiges, 1862.djvu/514

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— Pierre pantarbe. Ses propriétés merveilleuses, 133.

— Crustacés de la mer Érythrée qui ont une perle à la place du cœur, 137.

— Les huîtres aux perles. Leur pêche. Manière merveilleuse dont les perles se forment de leur sang, 138.

— Moutons nourris de poissons chez les lchthyophages de la mer Erythrée, 137.

— Arbres de Géryon. qui distillent du sang (près de Gades), 188.

7. Talismans.

— Épées enfoncées en terre pour détourner les terreurs de l’Inde, 112. Les tonneaux des vents et de la pluie, chez les Brachmanes, 112.

— Étoffes rouges marquées de caractères magiques employés par les Indiens, avec des enchantements pour endormir les dragons, 101.

— Lettre pour exorciser un enfant démoniaque donnée par Iarchas à la mère de cetenfant. Lalettrecontientdes menaces terribles pour le démon qui l’obsède, 128.

8. Prodiges.

1. Prodiges étrangers à Apollonius de Tyane. V. Ababis, Brachmanes, Delphes, Memnon, Pythagore.

Démocrite sauve de la peste Abdère, Sophocle apaise les vents, Empédocle arrête un nuage qui avait crevé sur Agrigente, 358.

Orphée ramène les morts à la vie par ses mélodies, 368.

Sources de vin et de lait jaillissant sous les pieds des Bacchants et des Bacchantes, 252.

Sur l’ordre du Gymnosophiste Thespésion, un arbre salue Apollonius en l’appelant par son nom, 241.

2. Prodiges d’Apollonius.

Cures merveilleuses faites par lui au temple d’Esculape, à Égées, 9 : au temple d’Esculape, à Pergame, 147. — Il guérit un hydrophobe, 28 6.

Exorcismes (V. Brachmanes).

Apollonius délivre un jeune homme possédé d’un démon qui le rendait fantasque et insolent, 158.

Apollonius est mis en jugement. Quand Tigellin veut lire l’accusation, il trouve le papier blanc, tous les caractères ont disparu, 182.

Il ôte sa jambe des fers, 332.

Il disparaît subitement du tribunal de Domitien, à Rome, vers midi, 342 ; vers le soir, il se trouve transporté à Dicéarchie (Pouzzoles), 375 ; il se trouve transporté en un instant de Smyrne à Éphèse, 146.

Merveilleux (êtres).

1. Empuses ou lamies. Une empuse apparaît aux compagnons d’Apollonius, qui la chasse en la chargeant de malédictions, 52.

Une empuse ou lamie prend la forme d’une belle femme, et séduit un disciple d’Apollonius, qui veut l’épouser, mais à qui Apollonius fait voir ce qu’est sa fiancée, 163 et suiv.

Il éloigne de Corinthe ce spectre en Invoquant Hercule Sauveur, 360.

2. Gorgone. V. 311.

3. Néréide. Divinité terrible qui habite l’île sacrée, c’est-à-dire inviolable, de Sélère, dans la mer Érythrée, 138.

4. Pans, Satyres, Géants (V. ces mots).

5. Démons. Sur la croyance aux démons dans l’antiquité, V. les Éclaircissements, 462. Le démon de la peste d’Éphèse lapidé par l’ordre d’Apollonius, qui le découvre caché sous l’extérieur d’un vieux mendiant, 147.

Tigellin prend Apollonius pour un démon, 182.

Domitien, 325.

Les habitants d’Hispola ( Bétique) prennent un acteur tragique pour un démon, 193.

La pureté de la vie pythagoricienne permet à l’homme de distinguer les démons, 246. V. Merveilleux, Exorcisme.

6. Héros ou ombres. Apollonius passe une nuit près du tombeau d’Achille, et s’entretient avec l’ombre du héros^ 14 8 ; récit de cette entrevue, description de la forme sous laquelle apparaît l’ombre d’Achille, 152. — Relation de leur entretien, 153 et suiv. — Achille demande à Apollonius deux services : d’avertir les Thessaliens d’un grief qu’il a contre eux, et d’exclure du nombre de ses disciples un descendant des Troyens, 149, 153. Son ombre disparaît en jetant une légère lueur, 155.

Métempsycose, Migration