Un plat de choucroûte (saur-kraut) hérissé de saucisses et couronné de lard fumé de Strasbourg.
Expression : « Peste ! voilà qui a bonne mine : allons, il faut y faire honneur !… »
Un filet de bœuf à cœur rose piqué et cuit dans son jus ;
Un quartier de chevreuil, sauce hachée aux cornichons ;
Un turbot au naturel ;
Un gigot de présalé à la provençale :
Un dindon truffé ;
Des petits pois en primeur.
Expression : « Ah ! mon ami, quelle aimable apparition ! Il y a vraiment nopces[1] et festins. »
Une pièce de volaille de sept livres, bourrée de truffes du Périgord jusqu’à sa conversion en sphéroïde ;
Un énorme pâté de foie gras de Strasbourg, ayant forme de bastion ;
Une grosse carpe du Rhin à la Chambord, richement dotée et parée ;
Des cailles truffées à la moelle, étendues sur des toasts beurrés au basilic ;
- ↑ Pour que cette phrase soit convenablement articulée, il faut faire sentir le p.