Page:Pigault-Lebrun, L’Enfant du bordel, Tomes 1 et 2, 1800.djvu/172

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nous prîmes quelques liqueurs, et, après nous être promis de renouveler souvent la scène qui venoit de se passer, elle appela un domestique qui me conduisit à la chambre qui m’étoit destinée, où je ne tardai pas à trouver, dans un sommeil profond, la réparation de mes forces.

Fin du premier volume.