Page:Pigault-Lebrun, L’Enfant du bordel, Tomes 1 et 2, 1800.djvu/204

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le gazon ; il se débrailla de nouveau, me fit empoigner son outil, remit sa main sous mes jupons et chatouilla ma petite fente. J’y trouvai du plaisir et le lui dis : oubliant alors toute retenue, il mit de la salive à son affaire, en mit à l’entrée de ma fente, me plaça sur le tronc d’un arbre renversé, et chercha le bonheur.

Les pièces étoient trop disproportionnées pour que la chose pût réussir sur-le-champ. Je criois d’une manière épouvantable ; sans s’occuper de mes cris qui ne pouvoient être entendus, il continua ses efforts, et, après dix minutes de tentatives inutiles, le serpent commença à pénétrer. Je souffrois si