Page:Pigault-Lebrun, L’Enfant du bordel, Tomes 1 et 2, 1800.djvu/27

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la rue, s’agenouille sur le bord d’une chaise, baisse le haut du corps en avant, et livre le reste au trop heureux Théodore. Ses mains tremblantes soulèvent deux jupons d’une blancheur éblouissante, une chemise plus blanche encore, et découvrent le plus joli petit cul que l’on puisse imaginer. Oh ! M....., si ce cul délicieux eût frappé une seule fois tes regards, tu aurois sans peine renoncé pour lui aux appas masculins de tes Ganimèdes. Peignez-vous une chûte de reins délicieuse, des fesses rebondies sur lesquelles on ne pouvoit appuyer la main sans qu’elle ne fût repoussée par l’élasticité des chairs, deux cuisses moulées et qui

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