Page:Pigault-Lebrun, L’Enfant du bordel, Tomes 1 et 2, 1800.djvu/275

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Après avoir lu la lettre, elle me dit d’être parfaitement tranquille, et qu’il ne m’arriveroit rien chez elle ; que, d’ailleurs, elle alloit, d’après les ordres qu’elle avoit reçus, travailler à ma métamorphose.

Elle sortit et me laissa seule pendant environ une demi-heure ; elle revint avec un paquet de hardes de femmes de différentes tailles : je les essayai et m’en tins à un ajustement de grisette fort joli et parfaitement bien fait.

Cette femme étant une des pourvoyeuses du sérail de Mad. D......y, elle me proposa de m’y faire recevoir. Que faire ? je ne pouvois plus vivre avec mon capucin, je ne pou-

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