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NOTES

Ici, malgré Bekker et les manuscrits, je retranche δοϰεῖν avec Buttmann et Heindorf, p. 367 ; comme plus loin, p. 210, je retranche ϰαὶ διϰαστήρια avec Heindorf, p. 479, Schleiermacher, et Bekker, p. 301, qui l’a trouvé pourtant dans tous les manuscrits.


Page 125. — La partie adverse est là qui leur fait la loi, en faisant lire la formule d’accusation, qu’ils appellent antomosie, du contenu de laquelle il est défendu de s’écarter…


Ἣν ἀνθωμοσίαν ϰαλοῦσιν a bien l’air d’une glose, comme le remarque Heindorf, p. 306, et Schleiermacher. Bekker, qui l’a trouvé dans tous les manuscrits, l’a laissé dans le texte, p. 240, et je n’ai pas cru devoir le retrancher dans ma traduction. — Fleury (discours sur Platon) ; Sallier (Mémoires de l’Académie des Inscriptions, t. 13, p. 317), et M. Leclerc (dans ses extraits de Platon), ont traduit le portrait du philosophe. Je regrette de n’avoir pu employer aucune de ces traductions, fort inférieures à celle de Grou.


Page 148. — Le patient devient sentant, et non pas encore sensation.


Au lieu de αἰσθητὸν, j’adopte, contre Bekker, p. 259,