Page:Platon - Œuvres, trad. Cousin, I et II.djvu/883

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γένους τοῦ τῶν πάντων αἰτίου… mais toute l’antiquité cite le γενούστης de ce passage comme un mot singulier que l’on éclaircit soigneusement. Suidas, Hesychius, le scoliaste, Olympiodore, le commentent par συγγενής.

PAGE 352. — La soif pareillement est une dissolution et une douleur…

Φθορὰ καὶ λύπη καὶ λύσις. BEKKER, p. 173. STALBAUM, p. 90.


Schleiermacher et Stalbaum retranchent καὶ λύσις ; je ne pense pas toutefois que dans la négligence et la disinvoltura de la phraséologie de Platon, on ne puisse justifier plus ou moins καὶ λύσις. Il en est de même de καὶ χρηστὰς, Bekker, p. 196. Schleiermacher et Stalbaum le retranchent, et prouvent assez bien que rigoureusement pour le conserver il faudrait ajouter καὶ ἀληθεῖς après ψευδεῖς ; mais l’exactitude moderne n’est pas ici de mise. Dans ma traduction, j’ai retranché καὶ λύσις et καὶ χρηστὰς, mais dans une édition, j’aurais fait comme Bekker qui les a conservés.

PAGE 360. — C’est le désir que nous concevions…

Ἵνα μή… Avec Schutz, Heindorf, Heusde Stalbaum,