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LIVRE QUATRIÈME.


A compter de ce quatrième livre, les remarques de Boeckh nous manquent, et nous n’avons plus que celles d’Ast.

PAGE 205. — Contre ce passage de Platon, j’aurais dû indiquer, dans les notes placées au bas des pages, celui d’Aristote, Polit., VII, 5 et 6, où il réfute Platon, et fait voir que la meilleure situation pour une ville est celle qui réunit les avantages de la mer et ceux de la terre-ferme.

PAGE 206. — Le sapin n’y est pas beau, le cyprès y est rare ; on y voit aussi peu de pins et de platanes.

Bekker, page 333. Οὐκ ἔστιν οὔ τε τις ἐλάτη λόγου ἀξία οὔτ’ αὖ πεύκη, κυπάριττός τε οὐ πολλή· πίτυν τ’ αὖ καὶ πλάτανον ὀλίγην ἂν εὕροι τις·

J'ai passé dans la traduction οὐτ’ αὖ πεύκη, le pinus picea, variété du sapin.

PAGE 207. — Je suis en effet dans la persuasion qu’une loi n’est bonne qu’autant que, comme un bon archer, elle vise toujours au point qui comprend à lui seul tous les vrais biens, et qu’elle néglige tout le reste.