Page:Plaute - Comédies, traduction Sommer, 1876, tome 1.djvu/20

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dresse d’en allonger beaucoup le cinquième acte par des scènes qui ne faisaient que reproduire quelques-unes des situations précédentes, et qui, par cela même, n’avaient aucun intérêt.

Parmi les imitations étrangères, l’on peut citer l’Amphitryon anglais de Dryden, il Marito de l’Italien Louis Dolce, et enfin deux traductions, l’une espagnole, de don Villabolos, l’autre italienne, de Pietro Pierata.

Si Plaute a eu beaucoup d’imitateurs, il a dû imiter aussi plusieurs poëtes qui avaient traité avant lui le même sujet : chez les Grecs, l’Athénien Archippe, Eschyle d’Alexandrie et un ou deux autres ; chez les Latins, Cécilius, contemporain de Plaute, mais plus âgé que lui.




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