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QUATRIÈME ENNÉADE.


que leurs âmes y sont sensibles. Beaucoup d’âmes qui ont vécu sur la terre ont, après être sorties de leur corps, continué d’accorder des bienfaits aux hommes[1]. En révélant l’avenir[2] et en rendant d’autres services, elles prouvent par elles-mêmes que les autres âmes n’ont pas dû non plus périr.


  1. Voy. Cicéron. Tusculanes, I, 12, 28.
  2. Voy. Cicéron, Tusculanes, I, 16, 37 ; De la Divination, I, 58.