Page:Plutarque - Vies, traduction Ricard, 1829, tome 11.djvu/437

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DÉMOSTHÈNE.

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SOMMAIRE.
I. La vertu est indépendante du lieu où l’on est né. II. Plutarque peu versé dans la langue latine qu’il n’avait apprise que tard. III. Objet que Plutarque se propose dans ces deux Vies parallèles. IV. Origine de Démosthène. V. À quelle occasion Démosthène s’applique à l’éloquence. VI. Il plaide d’abord contre ses tuteurs, et parle dans les affaires publiques avec peu de succès. VII. Son découragement. Il est excité par un de ses amis à reprendre les affaires. VIII. Soins extraordinaires qu’il prend pour se former à la déclamation. IX. Son refus de parler en public sans préparation. X. Il le fait cependant quelquefois avec succès. XI. Jugement divers qu’on porte de Démosthène. XII. Ses grands efforts pour corriger ses défauts naturels. XIII. Bons mots de Démosthène. XIV. Son entrée dans le gouvernement. Sa conduite envers Midias. XV, Son attachement au parti qu’il avait embrassé. XVI. Sur quels principes il compose ses discours. XVII. Il était plus homme de bien que les autres orateurs de son temps. XVIII. Ses diverses oraisons. XIX. Il déclame contre Philippe avant que la guerre soit déclarée. XX. Zèle de Démosthène contre Philippe pour l’intérêt de la Grèce. XXI. Il fait entrer les Thébains dans la ligue des alliés. XXII. Gloire que ce succès procure à Démosthène. Présages qui en troublent la joie. XXIII. Démosthène méprise ces présages ; il fuit