Page:Poe - Contes inédits traduction William L. Hughes, Hetzel.djvu/320

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XIV

Et je goûte une paix si tranquille, étendu sur ma couche (confiant dans l’amour d’Annette), que vous me croyez mort ; et je dors si satisfait, étendu sur ma couche (avec l’amour d’Annette dans mon cœur), que vous me croyez mort, — que vous frissonnez à ma vue, me croyant mort.


XV

Mais mon cœur a plus d’éclat qu’aucune des nombreuses étoiles du ciel, car l’image d’Annette y scintille ; la splendeur de l’amour de mon Annette, — le souvenir des yeux brillants de mon Annette le font rayonner.


FIN