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Page:Pompery - Quelennou var labour pe gonnidegues an douar, 1851.djvu/107

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et abtenir m;:*.me_ plus de régularité ,‘ en tragant des raies au huttoir on a la charrue , espacées de 70-cens timétres environ, dans une terre bien préparée el: bien ameublie; des ouvriers suiveutles semeuses et recouvreuta la houe, ou bien on fait cette opera- tion a la charrue, en fendant les petits billous quelle a formés emre. chaque raie. Quand ‘la terre est bien meuble, on recouvre parfaitement et en trés-peu de temps, en faisant passer la herse renversée sur la piece. ‘

Des que les pommes de terre commencent a ‘pa- raltre, on herse énergiquement pour détruire les mauvaises herbes qui ont levé a la surface , et pour faciliter, par Pameublissement du sol, les hinages subséquents.~On emploie pour gette opération une herse dont les dentssont déjzi usées, et l’on évite ainsi

.de ramener a la surface un trop grand hombre des tu-

hercules de semence. Quaud =les lignes sont deve- nues visibles dans toute leur longueur, on hiue, et quelque temps aprés on butte. Mais est-il uécessaire de butter les pommes de terre ? Cette question a été résolue af‍iirmativement ou combatztue par divers agronomes émineuts. Pour moi , j’ai fait des essais comparatifs qui m’ont toujours: convaiucu que la pomme de terre non buttée dounait _un rendeuaeut égal a celle qui avail: regu cette faqou, ou meme plus aboudaut;j’ajouterai que les plus gros tubercules Vien- nent toujpours a f‍lour desol, ce qui indique qu’en

Esl—i| nccessairc dc butler la pomme de Ierre I’