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classe, parce que, s'identifi ent plus‘ facilement avec‘ le sol, il produit un effet immédiat, tandis que le maérl ne peut agir que lentement et à mesure qu'il se décompose. D'ailleurs, le sable par sa ténuité est plus facile à répandre} à quantité égale, il couvrira une plus grande superficie que le maerl ; il y a donc économie de dépense et de cbarroi dans l'emploi du sable; néanmoins, le maërl doit lui être préféré pour les terres fortes, j'en ai donne’ ci-dessus la raison.
Il est à remarquer que les amendements calcaires Pilîssavnis produisent des effets beaucoup plus sensibles dans JHËÎÊÏM, les régions qui s'éloignent de la mer que dans celles n. {mesure qui Tavoisinent. On obtient d’étonnants résultats, "i""l"l‘“" dans les terres de l'intérieur du département, en ré- pandant par hectare une minime quantité de ces
substances. Cet avantage compense Pexcédant des
frais de transport que l'éloignement occasionne aux cultivateurs de ces localités. Le seul moyen de ferti-
liser nos terres légères éloignées de la côte, de rendre possible le défrichement de ces vastes landes qui dé-
solent continuellement les regards du voyageur, c'est
de favoriser l'apport des calcaires dans cette région
par la création de communications faciles, de façon
à mettre adondammeat ces matières à la portée des populations.
La terre légère exige un fumier plus consommé ‘L. m,
que la terre forte, parce qu'elle ne peut se bien assi- ÎÏÊZÂËÇΑ
miler les gros fumiers, qui ont, en outre, Pinconvé- ‘°"‘°“'"“"‘ 2.