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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/115

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Le notaire, son patron, ayant été appelé au chevet d’un gentilhomme du voisinage qui voulait tester avant de mourir, il avait emmené Curtius avec lui.

Le notaire avait une jument et un poulain. Le poulain avait dix-huit mois ; ce fut la monture de Curtius.

Pendant trois heures, le futur patriote se promena de la tête à la queue, avec des soubresauts effrayants, et comme il rêvait déjà une réforme dans la législation, il songea au divorce.