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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/139

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précaution que le Bouquin avait prise d’enlever les balles se trouvait fort inutile.

Curtius avait trop peur pour songer à se défendre.

Quand les brigands ne furent plus qu’à trois pas de lui, l’un d’eux lui cria :

— Mets-toi à genoux !

Curtius tomba à genoux et demanda grâce.

L’autre disait à Brulé :