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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/272

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— Il a parlé de guillotiner quelques centaines de personnes.

— Eh bien ! mais, dit Solérol, on a dû applaudir beaucoup.

— Vous vous trompez…

— Ah ! bah !

— Et les municipaux sont froids…

— Je les réchaufferai ! s’écria Solérol, qui frappa de son poing fermé sur la table.

— Les soldats ne veulent pas suivre Curtius.