Fondu dans Bouteville, depuis lesquels la vicomté de Coëtquénan a appartenu successivement aux Parcevaux, Goulaine, Plœuc, Perein, Kerèrault et Carné.
Vairé d’or et de gueules, au chevron d’hermines.
Auffret, chanoine de Tréguier et recteur de Plourin, l’un des auteurs du premier dictionnaire breton, imprimé à Tréguier en 1199.
D’argent au sautoir de gueules, accomp. en flancs et en pointe de trois quintefeuilles et en chef d’un annelet de même, comme Coëtlestrèmeur, le Grand Kerbouric, et Plessix du Ploèsquellec.
Yves, ratifie le traité de Guérande en 1381 ; Philippe, abbé de Bégard, évêque de Léon, puis archevêque de Tours et cardinal d’Avignon, † ; Jean, évêque de Rennes, puis de Tréguier, † 1464.
Fondu dans Kergadiou.
D’argent au lion de gueules, écartelé de Charuel.
Hugues, évêque de Tréguier, † 1468, Pierre, chevalier de l’ordre en 1610. La branche aînée, tondue en 1606 dans du Parc-Locmaria.
Hervé, juveigneur, épousa en 1389 Margelie de Boiséon, et leurs enfants prirent les nom et armes de Boiséon.
De gueules à six besants d’or ; au chef denché d’argent (G. le B.)
Ecartelé d’or et d’azur (Sceau 1381) aliàs à trois croissants de gueules sur le tout (Sceau 1415).
Un chevalier croisé en 1218 (cab. Courtois); Guillaume, ratifie le traité de Guérande 1381. Fondu dans du Chastél, puis Kerimel et Boiséon.
Anc. ext., réf. 1668, onze gén. ; réf. et montres de 1447 à 1543, par. de Pédernec, Tréglamus, sa trêve, Bourbriac et Plésidy, év. de Tréguier.