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SECONDE JOURNÉE.


Enfin je me réveillai réellement, le soleil brûloit mes paupières ; je les ouvris avec peine, je vis le ciel, je vis que j’étois en plein air, mais le sommeil appesantissoit encore mes yeux ; je ne dormois plus, mais je n’étois pas encore éveillé, des images de supplices se succédèrent les unes aux autres, j’en fus épouvanté, je me soulevai en sursaut, et me mis sur mon séant…

Où trouverai-je des termes pour exprimer l’horreur dont je fus saisi… J’étois couché sous le gibet de Los-