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Page:Pougy - Yvée Jourdan, 1907.djvu/23

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YVÉE JOURDAN

« her licht ! her licht ! De la lumière ! de la lumière ! »

Tout m’abandonne et tout me livre. Je n’ai pas de consolation.

Cela a été une tempête féroce, soudaine, irrémédiable, qui a tout achevé, et m’a seule épargnée, me laissant, telle une incertaine et lamentable épave, jetée à tous les risques, dans la désolation tragique des ruines amoncelées…

Je ne me sens plus de courage…

J’ai souffert tout ce qu’on peut souffrir.