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Page:Pougy - Yvée Jourdan, 1907.djvu/41

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YVÉE JOURDAN

— Je ne connaîtrai, jamais, assez la déception… Yvée, ma décision est de vous obéir…

Et, il est sorti, brusquement, de la serre…

Je suis resté interdite, stupéfaite, vaguement influencée, mécontente, inquiète, me répétant, encore, ses derniers mots, comme si, contre ma volonté, quelque chose, en moi, d’intime et d’indéfini, aurait attendu — de lui — d’autres paroles.

Ma faiblesse m’effraie… J’ai peur de mes craintes… Je me défie de mes raisonnements…

Je ne connais pas très bien tous ses