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Page:Pougy - Yvée Jourdan, 1907.djvu/76

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YVÉE JOURDAN

naient, tordus et lamentables, s’élevant comme en appel.

Toute la nature gisait, endolorie et consternée.

L’air balayait des cendres, avec douceur, comme s’il avait eu pitié…

J’ai dit à Max :

— C’est attristant et cela refroidit. Quittons ces bords désespérés, voulez-vous ? Pourquoi nous apitoyer, puisque tout doit — sous peu — renaître ?

Il m’a répondu :

— On ne voit aucune promesse.

J’ai répliqué ;

— Non, mais c’est ainsi. Cela est inévitable, nous le savons et chaque exemple l’affirme. Tout ceci est refermé sur de l’espoir.

Comme nous rentrions, il m’a dit :