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Page:Pougy - Yvée Jourdan, 1907.djvu/82

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YVÉE JOURDAN

devine, un courage me soutient, impérative et résistante, qui m’abandonne ensuite, et s’exhale en sanglots, en regrets, en craintes, et j’ose à peine me l’avouer… en de vagues et perfides désirs… inexprimables…

Je revois Lize et tout son abandon…

Nous sommes allés à l’Athénée à la reprise de Cœur-de-Moineau.

Justement les Larcher s’y trouvaient. Ils étaient en face de nous.

C’est une pièce alerte et gaie, que je trouve très triste et démoralisante ! Le pu-