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III

dernières pages du chapitre, Proudhon prend la parole comme s’il avait fait lui-même ce résumé.

Le lecteur ainsi averti, nous n’avons pas hésité à citer, à l’appui des idées de l’auteur, un fait judiciaire qui s’est passé depuis sa mort, et qui a inspiré à M. Eugène Paignon un de ses meilleurs articles (voir Introduction, page 10).

Dans le reste de l’ouvrage nous n’avons fait, comme dans le livre de l’Art, que de l’agencement, de la mise en ordre ; choisissant, entre plusieurs expressions d’une même idée, la plus lucide, la plus complète ; reportant aux chapitres qu’elles concernent les notes éparses, complémentaires, explicatives, dont la place était naturellement indiquée par leur contenu.

Ajoutons enfin que les divisions par chapitres n’étaient pas faites, mais que les titres se trouvent tout entiers en forme de sommaire à la première page du manuscrit.

J. A. Langlois.   F.G. Bergmann.
G. Duchêne. F. Delhasse.