Page:Quarré - Poésies d’Antoinette Quarré, 1843.djvu/47

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Un fils.



Que de fois j’ai rêvé, seule, hélas ! sur la terre,
Un ange aux blonds cheveux qui me nommait sa mère,
Un enfant blanc et rose entre mes bras couché,
Jeune être souriant au soleil, à la vie,
Unique et cher espoir de mon ame ravie,
Trésor où mon amour se serait épanché !