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TABLE.
Paragr. VI. Que l’imitation idéale procède d’une étude généralisée de la nature.
Paragr. VII. De l’infériorité des ouvrages de l’art comparés à ceux de la nature, s’il n’a recours au modèle idéal de l’imitation.
Paragr. VIII. Continuation du même sujet.
Paragr. IX. En quoi l’œuvre de l’imitation peut surpasser l’ouvrage de la nature.
Paragr. X. De la cause originaire qui introduisit en Grèce et y perpétua le style idéal dans les œuvres de l’art.
Paragr. XI. Caractère de l’idéal démontré et rendu sensible dans les ouvrages de l’art antique.
Paragr. XII. Que la notion de l’idéal, telle que cette théorie la donne, est d’accord avec celle qu’en ont donnée les écrivains de l’antiquité.
Paragr. XIII. Que l’idéal dans la théorie ne doit être expliqué qu’à l’intelligence, et ne peut l’être que par l’analyse rationnelle.

TROISIÈME PARTIE.

DES MOYENS DE L’IMITATION DANS LES BEAUX-ARTS.

Paragr. I. Ce qu’il faut entendre par moyens de l’imitation, selon l’objet et l’esprit de cette théorie.
Paragr. II. De ce qu’on appelle convention, entendue comme moyen d’imitation. — Des conventions pratiques et des conventions théoriques.
Paragr. III. Des conventions poétiques, ou des moyens généraux et communs à tous les arts y qu’emploie l’imitation pour parvenir à l’idéal.