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ÉPILOGUE


Une dernière fois reviens en mes pensées,
Ô jeunesse aux yeux clairs,
Et, dans mes mains encor, pose tes mains glacées.
Le soir parfume l’air.

Souviens-toi des matins où tous deux, côte à côte,
Notre ombre nous suivant,
Sur le sable fragile et parmi l’herbe haute
Nous allions dans le vent.