COMME KT AIRE.
bien
L. 26 : Ce n^eji tout Vaduantaige de courir toujîy mais bien de partir de bonne heure.
Rien m fert de courir ; il faut partir à point.
(La Fontaine, Le Licvie €■ la Tortue)
L. 31 : Vnde ver fus (D’où les vers),
Lcuer matin n’ejî poinéi bon heur, Boire matin ejt le vieilleur.
Rabelais parodie ici un proverbe dont le second vers est :
Mais venir à poind ell meilleur.
(\oyez Pierre Grosnet)
Page 79, î. 19 : Son ame ejîoit en lacuyfine. « Jam- dudum aninius eft in patinis. w (Térence, L’Eunuque. IV, 8)
Page 80, 1. i : Les leux de Gargantua. Cette nomen- clature, qui s’est successivement accrue, est beaucoup plus complète dans l’édition de Jufte, que nous repro- duisons, que dans la plupart des autres. Ces deux cent quatorze jeux, peuvent, comme l’a fait remarquer Burgaud des Marets, se diviser en trois groupes : 1° Jeux de cartes. Flux (p. 80, col. i, 1. 11) ; Hon- neurs (p. 81, c. I., 1. 7J. 2° Jeux de tables ou tabliers. Efchetz (p. 81, c. I, 1. 9) ; Dames (p. 81, c. i, 1. 26). 3" Jeux d’enfants &" d’écoliers. La babou (p. 81, c. i, 1. 27) jusqu’à lafin. Nous renvoyons au glojfaire ce que nous avons à dire de chaque jeu en particulier.
Quant aux listes ou descriptions de jeux qu’on pour- rait rapprocher de celles-ci, on en trouve dans divers ouvrages. Voyez principalement : le manuscrit de la Bi- bliothèque nationale intitulé : Jeux à vendre (n" 8 35’ du fonds français) ; les folios 159 et suivants des Triumphes des vertus décrits par M. Paulin Paris [Manufcrits fran- çais^ t. I, p. 290) ; Comment les paftourcaux & pafiou- relles enfemble fe iouent en diuers ieux (Recueil de