pour mieux dire, (le Port-au-Crime) des factieux qui l’infestent en s’opposant au rétablissement du bon ordre ; il doit ensuite revenir ici avec des mulâtres pour la garnison du Cap, contre les entreprises de guerre.
« François[1] a obtenu un congé du commissaire civil pour aller à vos affaires ; une fois à bord, il doit donner la ville au diable, la ville et tout ce qu’elle contient ; en effet, cette ville loge bien des ennemis de la tranquillité publique qui ont besoin du désordre comme de leur ressource pour vivre »
« Les préparations des agitateurs ici sont telles que be-coup d’individus sont persuadés, que nous ne serons pas huit jours après le départ du citoyen Sonthonax dans la tranquillité ; mais ce brave commissaire, à qui tout bon citoyen est tenu de rendre justice, prend les mesures nécessaires pour la ramener partout ».
« Je me réfère à toutes les précédentes, à tout leur contenu et pièces jointes que je vous confirme[2]