Ensuite on se rassit. Et il lut un passage des psaumes. Il y est dit :
« L’œil de l’Éternel est sur ceux qui le craignent, sur ceux qui s’attendent à sa bonté pour délivrer leur âme de la mort et pour les faire vivre durant la famine.
« Notre âme s’attend à l’Éternel. Il est notre aide et notre bouclier. Car notre cœur se réjouit en lui, car nous nous confions en son saint nom.
« Que ta bonté soit sur nous, ô Éternel ! comme nous nous attendons à toi. »
La voix du pasteur s’élevait au commencement des phrases et retombait à la fin. Puis il parla sur ce qu’il avait lu, montrant que Dieu est miséricordieux et qu’il ne faut pas s’abandonner à sa douleur, mais lever la tête, parce que le jour du revoir est prochain. Enfin il pria de nouveau.
On entendit des pas lourds dans la