Page:Recueil des Historiens des Gaules et de la France, tome16.djvu/9

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j, ̃ •’•îJrwi ». jj^tfÊHutttu* i ’njÊmribêndA Régit uàùu kùtqjp, qimfr*/wt Stigtrius tetjp- "tor vit» Ludovici fi, qui etiam Ludovici FHJmtoriqpi scribendam jÊrceperat,- samnorte prmventiu imperfectam reliquit. Philippi I gesta’ nemo veterum liUris exprofesso mondavit itaque nihil de eo coUigendum j invenirnus prseterquant qu’od traditum est us qui générales Regum Francorum historias ediderunt à nobis a nie vet post scripta Sugetii appositas. Regni provincias deinde i perlustrantes ducto à^parte septentrionali ordine, chronica scripta ita < reprœscntamus ut quse ex archivis rnonasteriorum Picardiœ Campanhc Rurgundise Provincue Occitanùe Aquitaniœ Andegavix Turoniœ Ccnomannix minoris Jjritanni.r • ac denique Norntannix Weprompta hnl>emus, in unum corpus colligerernus.. J Tomo lY/II congessimus qux de rcbus Francicis tradidere alienigenx vcl qui xtate sud eo nomine apud nos ccnsebanlur scriptores numero sr.vaginta quatuor, coxvi ipsi aut cua’vorum proximi. Alienigcnas intelligimus potissimùm scriptores Anglos quorum œvo illo historue <>b continuata inter utramque gentcm bclln tantam habent cum Iristoria Francorum connexionem ut. plerumquc ex eorum scriptis plus lucis accipiat historiq Francica qu’am à nostrorum narrationibus. Alienigcnns quoque censemus Belgas h’utoricos tune temporis subditos Germanorum Impcratoribus necnon superiorcs et inferiores Lot liaringos qui et ipsi legibus’eorumdern parebant Imperatorum. Historici. t autem Mis fompletur penè tomus Xtfl. Ilis ndjecimus excerpta quxdam ex chronicis universalibus per omnium temporum xtates et loca omnia ab origine mundi discurrentihus quorum scriptoribus ananganëot ; -nous avons placé d’abord les butanes» qui te sont bornas » écrire l’histoire d’un règne en particulier. Telest l’abbé JSuger auteur d’une tie du Roi Louis le -Gros, dont nous avons aussi un commencement d’histoire du règne de Louis-lç-Jeune-, la mort ne lui ayant pas permis de la continuer. Quint à Philippe I.cr il n’a point eu parmi les anciens, d’historien qui ait en-’ trepris décomposer son histoire aussi n’avons nous pu recueillir oe qui le concerne que dans les histoires généraies des Rois de France, placées ifaïtoé : diatement avant ou après les écrits de l’abbé Suger. Parcourant ensuite les différentes provincea^-du royaume, à commencer par le nord nous présentons les chroniques composées dans les monastères en Picardie en Champagne, en Bourgogne en Provenoe en Languedoc en Aquitaine en Anjou en Touraine au Maine en Bretagne, et nout. unissons par celles que fournit la Nonnandie. Dans le tome XIII nous avons réuni ce qui a été dit, touchant notre histoire par des écrivains étrangers ou réputés tels dans les temps que nous parcourons tous également contemporains pu presque contemporains. Sous cette dénomination d’étrangers nous comprenons principalement les écrivains Anglois dont, à cette époque, à cause des guerres continuelles entre les deux nations, les histoires sont tellement liées à celle de la France qu’il n’est pas rare de tirer de leurs écrits plus de lumières que nous n’en trouvons dans nos propres historiens. Nous regardons encore comme étrangers à la France les historiens de la Belgique parce qu’alors ce pays étoit soumis aux Empereurs d’Allemagne ; et encore ceux des deux Lorraines, haute et basse qui faisoient aussi partie de l’Empire. Ces histoires remplissent presque la totalité du XI11-* volume. Nous y avons ajouté quelques extraits de chroniques universelles, embrassant tous les temps et tous