Page:Recueil des historiens des Gaules et de la France, tome13.djvu/59

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PRyEFATIO.

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il en repartit de son plein gré pour id in eo quod superest operis neutirejoindre ses confrères. En 1161 il quàmapparet. Prseter eos enirn verfut envoyé comme obédiencier à Ot- sus quos sub anno 1148 recitat, ac viler, où il se rendit au mois d’Août nonnullos identidem narrationi suée après avoir reçu l’institution de son intextos, reliqua solutâ oratione Evêque pour les fonctions curiales scripta sunt. Anno 1153 a Galterio mais en 1164 l’intrigue de ses enne- Abbate probante Capitulo, cura mis le fit révoquer, et on le plaça, demandata est eiCellx IVahencurtis pour le dédommager, à Borteries. En qub se cum Presbytero et Diacono 1169 il eut une maladie sérieuse, et contulit ibique quinque annos deil en parle pour remercier Dieu de lui moratus ad suos postmodàm sodales avoir rendu la santé. Nous ne pouvons spontè reversus est. Tum anno 1161 dire jusqu’à quelle année il a vécu. Sa ex obedientia missus ad Cellam OtChronique finit en 1170, mais il est viler, illuc A ugusto mense accessit, visible qu’elle n’est pas complette. canonicâ priics ab Episcopo instituNous ne savons pas non plus quel est tione accepta ad munia pastoris oble point d’où il est parti rien ne l’in- eunda. Inde verb malevolorum artidique dans son ouvrage. Les lambeaux bus anno 1164 revocatus, Borteriis qu’on a pu recueillir des citations qui mox, compensationis ergo, prsefecen ont été faites, ne remontent pas tus est. Gravi morbo se anno 1169 au-delà de 1100. Ils se trouvent en partie conflictatumfuisse commémorât eâ dans l’histoire manuscrite du Câteau- tantùm de causa ut recuperatam vaCambresis par André Potier, et en par- letudinem Deo acceptam referat. tie dans un livre de mélanges appellé Quousquedeincepssevumproduxerit, Pot-pourri, que ’Martin de Laleu Cha- nos latet. Sistit quidem in an. 1170 noine Régulier de Saint-Aubert a laissé Chroniconipsius at ext remet perinde à son Monastere. M. Mutte Doyen de oc priori parte mutilum illud esse l’Eglise de Cambrai nous, a commu- perspwuum est. Itaque nec unde sit niqué le long fragment que nous pu- orsus, nec ubi constiterit liquida deblions depuis 1149 jusqu’en 1170. Il cernere licet. Quse verb ab aliis ex en avoit une copie faite en 1664 sur. eo fragmenta profèruntur annum un ancien manuscrit ce qui prouve ea 1100 non superant quorum quique ce manuscrit existoit alor s mais dem pars non mediocris exstat in il a été égaré depuis, et ce Sçavant manuscripta historia Castri Cameramalgré ses recherches persévérantes, censis per Andream Potier neenori n’a pu le recouvrer. Ce fragment bien in libro cui titulus Farrago fœtu conservé est très-propre à faire re- Martini de Laleu Canonici regulagretter ce qui est perdu. On y voit un ris S. Auberti Cameracensis qui suo auteur diffus à la vérité, mais exact, illum Monasterioreliquit. DD.verb qui a eu soin de marquer les dates et Mutte, Ecelesix Cameracensis Deles circonstances des événemens avec canus prolixum communicavit nola plus grande précision. biscum fragmentum, quod a nobis vulgatum ab anno 1149 ad annum 1170 excurrit. Hujus penès se habebat exemplar anno 1664 descriptum ex veteri Codice, quod argumento est extitisse turn^ temporis codicem illum, nunc verb deperditum, ut censet inr ille doctus, cassa quam in eo conquirendo adhibuit assidud diligentiâ. Partis quss deperiit desideriumincutit fragmentum istud, in quo scribentem paulb quidem fusius auctorem animadvertere est, sed accuratum, atque in chronicis notis consignandis rerumque circumstantiis diligentissim um