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férentes publications didactiques, parmi lesquelles on remarque une grammaire sanscrite et un dictionnaire sanscrit-anglais ;

À Cambridge, par M. Cowell, éditeur et traducteur d’ouvrages sanscrits importants qui ont paru surtout dans la collection de la Bibliotheca indica ;

À Londres, au Collége de l’Université, par M. Ernest Haas ;

À Édimbourg, par M. Julius Eggeling ; et à Dublin, par M. Robert Atkinson.

Je dois joindre à cette liste le nom de deux hommes, qui, sans professer le sanscrit, ont rendu et rendent encore à nos études les plus signalés services par les remarquables travaux qu’ils y consacrent et les encouragements de tous genres dont ils sont prodigues envers elles. Ce sont : 1o M. Max Müller, professeur de grammaire comparée à l’Université d’Oxford, auquel on doit, indépendamment d’excellents ouvrages sur la mythologie, sur la science des religions et la linguistique, une histoire ; de l’ancienne littérature sanscrite et une magnifique édition du Rig-Véda ; 2o M. John Muir, d’Édimbourg, l’auteur de la précieuse collection