Page:René de Pont-Jest - La Bâtarde.djvu/266

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bienvenu au bal qu’elle donnera jeudi prochain dans son hôtel. »

— C’est bien, merci, dit-il au domestique, en s’efforçant de paraître calme.

Et il sortit lentement, mais pour s’écrier, une fois dans sa voiture et en froissant les lignes odieusement ironiques de Gabrielle :

— Ah ! misérable créature, c’est un défi ! Eh bien ! oui, je viendrai à ce bal, et peut-être que Dieu m’inspirera !